Chronique littéraire

 << Je ne vais pas lui cracher au visage. Je ne vais pas l’enterrer vivante dans jardin. Non. Au lieu de cela, je vais l’aimer. Pour qu’elle n’y comprenne rien. Pour qu’elle ne sache plus trop où donner de la tête. Pour qu’elle ne sache plus rien des questions qu’elle devrait se poser, quelles barricades ériger quand le bonheur, ce con de bonheur, menace de revenir aussi facilement.>>

<< Rien n’est vraiment différent d’avant mon hospitalisation. Rien. Mis à part le fait que tout doit, à partir de maintenant, aller doucement. Je ne saurai pas tout de suite si j’ai changé. Je ne suis peut-être déjà plus le même. Inutile de croire que tout sera comme autrefois. Quand la tête explose, il est difficile de la refaire pareille à ce qu’elle était. >>